Intro : (x4)
Il faisait des années supplémen taires
Sur terre
Il avait bu des océans cul- sec
Avec
Des moins i vrognes déjà morts
Des éter nels changeurs de bord
Sûr qu'il prenai t la bouteille au sérieux
Le vieux
C'était un philosophe de vil lage
Sans âge
Qui récla mait en mai soixante- huit
La suite
Juste après les révolutions
Sur les pa vés y a du goudron
Mais il n'a pas désarmé pour si peu
Le vieux
Il di sait que tout s'al lume
Mais encore fau t-il qu'on le voie
Quand le doigt montre la lune
L'im bécile re garde le doigt
Il ado rait toujours serrer des mains
D'hu mains
Sans igno rer qu'elles le montraient par fois
Du doigt
Il savait que la trahi son
Construit au traître sa pri son
Il appor tait des oranges aux e nvieux
Le vieux
Il s'é tait perdu dans des Pearl-Har bour
D'a mour
Mais il a vait gardé comme un tré sor
À bord
Une no yée de sentiments
Qui ne com ptait que deux amants
Dont il é tait peut-être l'un des deux
Le vieux
Il di sait que la cou tume
Doit faire avan cer l'ave nir
Quand le fer f rappe l'enc lume
L'im bécile forge un souve nir
Il vieillis sait avec une telle en vie
De vie
Que sur son front il n'y avait pas d'idées
Ri dées
Que sa pa tience et sa pas sion
Se mélan geaient à l'unis son
Devant le vide il avait comme un creux
Le vieux
Quand il est mort il avait bien cent ans
Pour tant
Son âme tendre disait à son corps
En core
Quand il a débarqué là-haut
Entre un ton nerre et un tonneau
On ne sait pas s'il a rencontré Dieu
Le vieux
Il n'est pas mort pour des prunes
Car à chaque fois qu'il en voie
Ses mes sages de Sa turne
L'i diot met l'an neau à son doigt
Il y a des ombres qui font la lu mière
Sur terre … (x4)