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LES POCHES VIDES

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Music & Lyrics: Noé Preszow
Album: À nous (2021)
 
 
 
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Tu   n'le reconnais plus, faut dire il a   changé
Faut   dire il a perdu sa crini  ère argentée
Lui   qui savait parler ne trouve   plus les mots
Ce  lui qui naviguait ne verra   plus les flots
Tu   n'le reconnais plus, il n'y a pas de   question
Tu   connais la réponse, c'est écrit   sur son front
Un  e semaine ou deux, il n'y a   rien à faire
Sou  rire comme l'on peut face à ce   grand mystère
 
 
Par  tager en silence le printemps   qui revient
"Te sou  viens-tu l'enfance" bien sûr qu'il   s'en souvient
La   course en bord de Meuse, les années   aux longs ch'veux
   Les années   creuses, les jours heu  reux
C'é  tait un lit pour trois, chanter au   coin du feu
Lou   Reed, Barbara, la fumée   dans les yeux
Nou  rrir les orphelins croisés sur   votre route
Pro  téger les co  pains coûte que   coûte  
 
 
La   porte était ouverte à qui s'  était perdu
  Qui fuyait sa famille, à qui   n'en avait plus
  Il y avait eu la guerre et mille   et une failles
Les   pères et les mères un peu comme   du bétail
C'é  tait les poches vides, le monde en au  to-stop
Les   lettres envolées, jamais reçu   l'enveloppe
Pouvoir   perdre de vue ce qu'on ne veut pl  us voir
C'était la   liberté de ne plus rien   savoir
 
 
À cha  que jour sa lutte, à chaque nu  it son sens
Et   le droit à la chute qui fa  it que l'on avance
C'é  tait du bruit dedans, c'était du bruit   dehors
C'était   les nuits sans fin à n'pas être   d'accord
C'é  tait j'aime quelqu'un et tout se   raconter
Et   du jour au lend'main c'était, tout   quitter
S're  trouver en manifs après n's'être   plus vus
Le  s enfants ont grandi et vous ne   fumez plus
 
 
Par  tager en silence le printemps   qui revient
"Te sou  viens-tu l'enfance" bien sûr qu'il   s'en souvient
La   course en bord de Meuse, les années   aux longs ch'veux
   Les années   creuses, les jours heu  reux
C'é  tait un lit pour trois, chanter au   coin du feu
  Fontaine et Higelin la fumée   dans les yeux
Nou  rrir les orphelins croisés sur   votre route
Pro  téger les co  pains coûte que   coûte        
 
 
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  Eviter les sanglots, éviter   les soupirs
Sur  tout taire les mots que tu voudrais   lui dire
  "Allez viens on sort, viens on va   prendre l'air
  Tu n'es pas encore mort, viens, on   va s'prendre une bière
  Allez viens, on s'arrache le lac   ou la friterie"
On   s'en va où tu veux, on roulera   dans la nuit
Mais   tu ne diras rien et vous n'ir  ez nulle part
Tu   lèveras la main   pour lui dire   au revoir
Il   lèvera le   poing en souv'nir   des grands soirs
 
 
Par  tager en silence le printemps   qui revient
"Te sou  viens-tu l'enfance" bien sûr qu'il   s'en souvient
La   course en bord de Meuse, les années   aux longs ch'veux
   Les années   creuses, les jours heu  reux
C'é  tait un lit pour trois, chanter au   coin du feu
Ri  beiro, Lavilliers, c'était la   Maison Bleue
Nou  rrir les orphelins croisés sur   votre route
Pro  téger les co  pains coûte que   coûte
Pro  téger les co  pains coûte que   coûte
 
 
Pro  téger les copains   coûte que coû  te

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Dggjcvgnspg, version 1.0

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Dernière modification : 2021-04-12
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