C Tant pis si j'ai l'air inf
Dm antile,
Am Mais, par ma
G7
foi !
Ma ph
C rase d'élection
Dm c'est : « Il, E
G7 tait une
C
fois »
Et dans les salons
Dm où l'on cause,
Am Tant pis si
G7
on,
Fait l
C e procès de
Dm ma morose,
G7 Délectat
C
ion.
Sit
C7 ôt que je perds conte
F nance, Au
B#7 temps qu
E7
i court,
Lo
A7 rs, j'appelle les
D7 souvenances
Em , A mon se
A7
cours.
Ne
C7 vous étonnez pas, ma
F chère, Si
B#7 vous tro
E7
uvez,
Les v
A7 ers de jadis et n
D aguère
Dm , A mon c
G7 hevet.
C
Quitte à froisser la marguerite, Faut que je dise,
Que tu es ma fleur favorite, Myosotis.
Si les neiges d'antan sont belles, C'est qu'les troupeaux,
De bovins posent plus sur elles, Leurs gros sabots.
Au royaume des vieilles lunes, Que Copernic,
M'excuse, pas d'ombre importune, Pas de spoutnik !
Le feu des étoiles éteintes, M'éclaire encore,
Et j'entends l'Angélus qui tinte, Aux clochers morts.
Que les ans rongent mes grimoires, Ça ne fait rien,
Mais qu'ils épargnent ma mémoire, Mon plus cher bien !
Que Dieu me frappe d'aphasie, D'influenza,
Mais qu'il m'évite l'amnésie, Tout, mais pas ça !
Tant pis si j'ai l'air infantile, Mais, par ma foi !
Ma phrase d'élection c'est : « Il, Etait une fois. »
Tant pis si j'ai l'air infantile, Mais, par ma foi !
Ma phrase d'élection c'est : « Il, Etait une fois. »