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LE C.LIBERTAIRE

Paroles et musique :Richard Daumas
Tonalité :
  • D
  • E♭
  • E
  • F
  • G♭
  • G
  • A♭
  • A
  • B♭
  • B
  • C
  • D♭
  • D
  Existe-t-il e  ncor une f  emme fidè  le
  Qui n'ait aucun re  gret d'avoir   un seul ma  ri
  Levez la main bien   haut qu'on vous   compte mes   belles
  Qu'on vous décerne   enfin le plus pres  tigieux p  rix
  Le prix de la vertu ou le prix   du mensonge
  Suivant que vous   soyez ti  mide ou amnés  ique
  Qui n'a jamais trompé ne serait-ce qu'en   songe
  Pour s'échapper u  n peu des am  ours en  démiq  ues
  Ce n'est pas supp  ortable
  Toujours le   même l  it
  Toujours la même   table
  Toujo  urs l  e mê  me fru  it
 
 
  
 
 
  Le poète disa  it : "ne je  tez pas la p  ierre
À la femme adultère" car vous pourriez blesser
La femme vertueuse qui se cache derrière
Le choc pourrait très bien lui donner à penser
A penser que croquer toujours la même pomme
Bien avant de vieillir, elle sera fanée
Petite fleur vouée à n'aimer qu'un seul homme
Un seul et même insecte venu la butiner
Sans surprise notoire
Les gestes devinés
D'un amour dérisoire d'un plaisir cutané
 
 
Mais ne croyez pas que je prêche l'adultère
Ce n'est pas mon propos et il n'est nul besoin
D'encourager nos femmes à s'envoyer en l'air
El'savent mieux que nous briser le quotidien
Casser les habitudes qui encrassent le couple
Et redonner un peu de tonus à l'amour
Quand l'objet du mari devient un peu trop souple
El'sortent de leur sac un de leurs fameux tours
Alors elles fantasment
Sur un'star sur un dieu
Et puis elles s'acharnent
Petits seins besogneux
 
 
Avant que de mourir mesdames vertueuses
Laissez-moi vous ouvrir ma porte, cependant
Moi qui n'ai jamais eu d'amours incestueuses
Je me sens votre frère bien plus que votre amant
Devant la cheminée je dirais vos mérites
Tout en vous caressant je pourrais témoigner
De votre abnégation, du plaisir que vous prîtes
A demeurer fidèle jusqu'à vous résigner
A vérifier l'adage
Qui dit que la toison
De toute femme sage
A le goût du melon
 
 
Moi qui'ai toujours rêvé, bien que célibataire
D'avoir auprès de moi une seule égérie
Une femme amoureuse qui n'ait rien d'autre à faire
Que de s'occuper d'elle en vraie fée du logis
Qui soit mon oxygène, mon azote, mon trip
Mon seul cocon d'amour, ma poutre universelle
Un seul instant sans elle serait pire qu'un flip
Un désespoir féroce, l'absence d'étincelle
 
 
Alors chantons la gloire
De l'unique frisson
Des femmes à une histoire
Du désir pour passion
 
Alors chantons la gloire
De l'unique frisson
C'est pas la mer à boire
Ce n'est q  u'une pet  ite chan  son

Contributions

Autres versions chantfou, version 1.0

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Version : 1.1
Dernière modification : 2013-08-20
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