Intro : (2 fois)
J'ai lais sé là-bas dans les rem ous d'une hélice le dé goût et la h aine
Et j'ai lais sé là-bas le fac ile d'être triste en pen sant, en pensant à toi
Comme il est l oin le temps des regr ets ardents
Balayés par l'ennui des souv enirs que l'on fuit
Comme il est l oin le temps des reg rets ardents
Balayé s par l'ennui des sou venirs.
Et j'ai laissé là-bas mes habits de larmes couleur de drame pendu à ton charme
Et j'ai laissé là-bas les chaînes et le boulet et l'attente qui jamais n'en finissait
Comme il est loin le temps des reg rets ardents
Balayés par l'ennui des souv enirs que l'on fuit
Comme il est l oin le temps des reg rets ardents
Balayé s par l'ennui des sou venirs.
Que de temps passé que de vains mots chargés balancés sans viser
Que de rafales attentistes et de d'espoirs revendiqués
Pour se retrouver vidé de cet amour solitaire que je n'ai pas voulu faire taire
Cette tempête de silence qui m'insuffler mille brillance
Il me suffisait de plonger dans mon coeur
Une main avide de magnifiques douleurs
Pour fournir ma boucherie d'un viande si tendre
Qu'au souvenir de ton icône j'en faisais l'offrande
J'en ai laissé des cris des pleurs sur ton répondeur
Peine perdue, mais pas pour moi, qui l'aurai pourtant vraiment voulu
Et j'ai laissé là-bas les couteaux dans leur plaie
Et les trous béants qui crachaient du vent brûlant
Et j'ai laissé là-bas ma peine à jamais
Même s'il est triste de ne plus être triste en pensant à toi.
Comme il est loin le temps des reg rets ardents
Balayés par l'ennui des souv enirs que l'on fuit
Comme il est l oin le temps des reg rets ardents
Balayé s par l'ennui des sou venirs.