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J'ouvre la porte, laissant ma main sur la poignée
On ne sait jamais ce qu'il pourrait t'ar river
Tu sais, dehors, les hommes tombent a vec la nuit
J'aim' rais te proté ger quand les chats seront gris
Je t'offri rai le nom des rues claires de la ville
T'évitant les coins sombres, les impasses, les imbéciles
Leurs bras tendus trop vite comme des branches noueuses
J'aim' rais tant t'évi ter tout's ces promesses creuses
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Mais tu fe ras comme bon te semble
Tu ver ras, aucune histoire ne se ressemble
Ne m'en veux pas, si j'en fais plus qu'il n'en faudrait !
C'est malgré moi ; J'aurai toujours l'âme aux aguets
Et, même en semble,
J S/A 'aurai toujours le coeur qui | tremble
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Tu prendras des bateaux ; j'at tendrai ton retour
Tu feras des voyages qui voudront tour ner court
Mais, où que tu t'en ailles, je garde rai intact
Ton départ dans mon coeur comme le der nier impact
Mon enfant, tu prendras ta vie à bras le corps
Je passe rai la mienne à veiller sur ton sort
Au jourd'hui, tu t'en dors dans la chambre à côté
Et je prie pour que rien ne vienne nous séparer
Mais tu fe ras comme bon te semble
Tu ver ras, aucune histoire ne se ressemble
Ne m'en veux pas, si j'en fais plus qu'il n'en faudrait !
C'est malgré moi ; J'aurai toujours l'âme aux aguets
Et, même en semble ...
Mais tu fe ras comme bon te semble
Tu au ras un peu la vie qui te ressemble
Ne t'en fais pas, si je n' peux pas dor mir en paix !
C'est malgré moi ; J'aurai toujours l'âme aux aguets
Et, même en semble,
J S/A 'aurai toujours le coeur qui | tremble.
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