Intro :
Mmmmmmm mmmhh hhhhh
hh (x5)
J'ai laissé, dans mon ré
troviseur,
Loin, au milieu
d'un décor,
Des images,
Impressions et couleurs,
Et des flashs et des cris qui
s'emmêlent
Et me collent au corps,
Blanc, le silence
avant vous,
Noire, la scène a
vant les coups,
Longue,
L'attente de vous voir,
Et nos bras, nos regards au mo ment de se dire bons oir.
J'ai lais sé des bouts de moi au creu
x de chaque endroit,
Un peu de chair à chaque emprunte
de mes pas,
Des visages et des voix qui ne m
e quittent pas,
Autant de coup au coeur et qui t uent ch
aque fois,
Une ville que la nuit rend i
maginaire,
Une route qu'on prend comme on
reprend de l'air,
Et les papillons retournent
brûler leurs ailes
Pour tou cher la lu
mière,
Pour é nerver l'
hiver,
Pour un peu d'éphémère .
L'hôtel, la même
chambre, hier,
Gestes, compte à re
bours, horaires,
Tests,
Rassurants, quotidiens
,
Les choses a ussi retiennent leur so uffle, et puis le moment
vient,
Brûlent, les lights et
vos regards,
Volent, vos voix dans
nos guitares,
Belles,
Les mains des musiciens,
Et vos yeux que n'éteindra jamais un sommeil artifi ciel.
J'ai lais sé des bouts de moi au creu
x de chaque endroit,
Un peu de chair à chaque emprunte
de mes pas,
Des visages et des voix qui ne m
e quittent pas,
Autant de coup au coeur et qui t uent ch
aque fois,
Une ville que la nuit rend i
maginaire,
Une route qu'on prend comme on
reprend de l'air,
Et les papillons retournent
brûler leurs ailes
Pour tou cher la lu
mière,
Pour é nerver l'
hiver,
Pour un peu d'éphémère
.
Instrumental :
J'ai lais sé des bouts de moi au creu
x de chaque endroit,
Un peu de chair à chaque emprunte
de mes pas,
Des visages et des voix qui ne m
e quittent pas,
Autant de coup au coeur et qui t uent ch
aque fois,
Un matin pour s'étonner de nos
impudeurs,
Si gnatures, alibis, mais il est
déjà l'heure,
Et les papillons retournent
brûler leurs ailes
Pour tou cher la lu
mière,
Pour é nerver l'
hiver,
Pour que tout s'accé
lère.
J'ai lais sé des bouts de moi au creu
x de chaque endroit,
Un peu de chair à chaque emprunte
de mes pas,
Et les papillons retournent
brûler leurs ailes
Pour tou cher la lu
mière,
Pour un peu d'ephe
mere