J'aime rôder vers les fleurs per dues
Dans les jardins sau vages
Aux parfums d'ardoises et de rues
Des villes avant l'o rage
La rosée de leurs yeux trop mauves
Reflète une lu mière
Qui conduit parfois les vieux fauves
Et les anges en en fer
J'aime rôder vers les fleurs per dues
Dans les jardins sau vages
Et m'égarer dans les ci guës
Et dans les saxi frages
Sentir la chair d'une figue verte
Qui s'offre lente ment
Sur le rose d'une corolle ou verte
À mon souffle trem blan-an-an- an-ant
J'ai- ai-aime, J' ai-ai-ai-aime
Ohe-e-e-en en-en- en-en
J'ai- ai-aime, J' ai-ai-ai-aime
J'aime rôder vers les fleurs per dues
Dans les jardins sau vages
Aux nuances des gris bleus des grues
Des banlieues de pas sage
Le velours de leurs lèvres hu mides
À l'ombre de leurs voiles
M'entraîne et m'attire vers le vide
Où murmurent les é toiles
J'aime rôder vers les fleurs per dues
Dans les jardins sau vages
Aux parfums d'ardoises et de rues
Des villes avant l'o rage
Suivre le jeu d'une éta mine
Sur un œillet vio let
Qui s'entrouvre et qui s'illu mine
D'une larme de lai-ai-ait ai-ai- ai-ait
J'ai- ai-aime, J'ai-ai-ai-aime
Oho-o-o-o en-en-en-en
J'ai- ai-aime, J'ai-ai-ai- aime
J'aime rôder vers les fleurs per dues
Dans les jardins sau vages
Aux parfums d'ardoises et de rues
Des villes avant l'o rage
Suivre le jeu d'une éta mine
Sur un œillet vio let
Qui s'entrouvre et qui s'illu mine
D'une larme de lai-ai-ai-ai-ait ai- ai-ait
J'ai- ai-aime, J'ai-ai-ai-aime
Oho-o-o-o en-en-en-en
J'ai- ai-aime, J'ai-ai-ai- aime
Oho-o-o-o en-en-en-en