Artistes :

Titres :

Paroles et musique :Joseph Mustacchi
Tonalité :
  • B
  • C
  • D♭
  • D
  • E♭
  • E
  • F
  • G♭
  • G
  • A♭
  • A
  • B♭
  • B
« Si vous la rencontrez bizarrement parée
Trainant dans le ruisseau un talon déchaussé
Et la tête et l'oeil bas comme un pigeon blessé monsieur
Ne crachez pas de jurons ni d'ordures au visage fardé de cette pauvre impure
Que déesse famine a par un soir d'hiver
Contrainte à relever ses jupons en plein air
Cette bohême-là c'est mon bien, ma richesse, ma perle, mon bijou
Ma reine, ma duchesse » (Baudelaire)
 
Intro :  ..
 
 
   La femme   qui est dans mon   lit n'a plus vingt   ans depuis long  temps
Les yeux cer  nés par les an  nées, par les a  mours au jour, le   jour
La bouche u  sée par les bai  sers trop souvent,   mais trop mal don  nés
Le teint bla  fard malgré le   fard, plus pâle   qu'une tâche de   lune
 
 
La femme, qui est dans mon lit, n'a plus vingt ans depuis longtemps
Les seins si lourds de trop d'amours ne portent pas le nom d'appas
Le corps lassé, trop caressé, trop souvent, mais trop mal aimé
Le dos voûté semble porter les souvenirs qu'elle a dû fuir
 
 
La femme, qui est dans mon lit, n'a plus vingt ans depuis longtemps
Ne riez pas, n'y touchez pas, gardez vos larmes et vos sarcasmes !
Lorsque la nuit nous réunit, son corps, ses mains s'offrent aux miens
Et c'est son   coeur couvert de   pleurs et de bles  / (S.A)sures    qui me rassurent
 
 
Instrumental :                  (Ad libitum)
 

Contribution

Airelle, version 1.0

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Vidéo(s)

Version : 1.0
Dernière modification : 2007-02-19
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