G La femme qui possède
A7 tout en ell
D e
Bm
Em Pour donner le goût d
F#7 es fêtes charn
Bm
elles
Em La femme qui su
F#7 scite en nous tant d
Bm
e passions brutales
C#7 La femme est avant tout sentimen
F#7
tale
G Main dans la main le
A7 s longues pr
D omenad
Bm
es
Em Les fleurs les billet
F#7 s doux les sér
Bm
énades
Em Les crimes les
F#7 folies que pour ses
Bm
beaux yeux l'ont commet
D Quatre-vingt-quinze
A7
fois sur cent
D La femme s'emmerd
F#7
e en baisant
Bm Qu'elle le taise
F#7
ou le confesse
Bm C'est pas tout les jours qu'on lui d
A7
éride les fesses
D Les pauvre bougres
A7
convaincu
D Du contraire so
F#7
nt des cocus
G À l'heure de l'
A7 oeuvre de cha
D
ire
Elle
Bm est souvent
Em trist
A7 e Peuc
D
hère
G Si elle n'enten
A7 d le coeur qui
D
bat
Le co
Bm rps n
Em on-plus ne br
A7 onche p
D
as.
Sauf si elle aime l'homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir.
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle alors qui fait passer à ses adorateurs
De fichus quart-d'heure.
Les «encore», les «c'est bon», les «continu»
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité les soupirs des anges ne sont
En vérité que de pieux mensonges
C'est à seule fin que sont partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu.
J'entend aller bon train les commentaires
De ceux qui bâtissent des châteaux en Cathère :
C'est parce que tu n'est qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang froid
Peut-être mais si les assauts vous pèsent
Des petits m'as-tu vue quand je baise
Mesdames en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto...