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J'ai touché le sable colombi n vieilli de larmes et d'air sali n
J'ai porté le chandail d'auto mne que tu m'as laissé au moins d'oct obre
Qu'aurais-je pu faire pour te gard er, au moins un matin m'éveille r
Sur les baies de ton Pacif ique
Le vent se lève, ti rant les rênes
D'un a mour qui ne respira it
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu rais on
Mais moi, je t'attendrai là-b as sur les rives, morte de fr oid
Dans l'espoir quе j'ai partagé avec moi seule pour constat еr
Que tu ne m'atteins p as et c'est comme tous ces p as
Que le sable pourra efface r du Pacifique tant aim é
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Embrasse les filles, embrasse l'Ou est, loin de mes cris, de ma détr esse
Tu m'oubliais à chaque seco nde passée dans les bras d'une colom be
J'ai tant hurlé pour attrap er un instant de sincérit é
Sur les baies de ton Pacif ique
Le vent se lève, ti rant les rênes
D'un a mour qui ne respira it
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu rais on
Mais moi, je t'attendrai là-b as sur les rives, morte de fr oid
Dans l'espoir quе j'ai partagé avec moi seule pour constat еr
Que tu ne m'atteins p as et c'est comme tous ces p as
Que le sable pourra efface r du Pacifique tant aim é
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