Intro :
Quand la Marie que j'aimais
s'amen ait en minaud ant,
dans mon nid, au mois de mai,
j'avais jamais mal aux dents.
De tout Marie émanait
le beau, le doux, le mig non,
mais dans ma menue monnaie
y'avait pas le mot mil lion.
Marie n'était pas mém ère,
elle aim ait bien ma moum oute,
mes mim iques, ma marin ière,
et mes manières de mamm outh.
Les amis de mon aimée
m'amusaient, mais allons-donc,
les habits amidonnés,
ils donnaient dans le bidon.
Mais Marie, ma muse, ma reine,
n'était pas des masses ma mie,
la muse ment et l'amant peine,
si j'puis m'exprimer ainsi.
C'est décidé, dès demain,
j'ai des idées détonnantes,
je vais demander la main
de Marie, si ça l'enchante.
Si j'aimais sa tombola,
si jamais ça tombe à l'eau,
mon amante deviendra,
ben voyons, l'amante à l'eau.
Finale :