Toi qui regardes la mer tu es seul avec tes souvenirs
Et mal gré tout ce bleu, tout ce vert, tu es triste à mou rir
Mais, quand tu fermes les yeux, un re frain qui te parle en argot
Fait val ser te s jours heure ux avec l'odeur du mé tro
Chacun s'é vade à sa faç on, chacun son rêve, Papil lon
(+1/2 ton:)
Toi qui regardes la mer, tu ne vois même plus l'horizon
Tu re gardes vingt ans en ar rière et c'est loin et c'est bon
Paris existe toujours et, quand vient le printemps, on peut voir
Les vo yous fl âner auto ur des marronnier s des b oulevards
Les yeux fi xés s ur un jup on, t u te souv iens, P apill on
(+1/2 ton:)
Toi qui regarde le ciel, tu n'es plus qu'un pauvre homme écrasé,
Ecra sé par le poids du so leil, par le poids du pa ssé
Mais, quand le soir tu t'endors, en pe nsée tu retournes là-bas
Te voi là da ns ton déco r ton p'tit hôtel ton ta bac
La liber té a vait du b on; tu te sou viens, Papill on ...