Que l'homme se regarde sans orgueil tel qu'il est
Qu'il regarde d'abord sa jeunesse voûtée
Voûtée par les principes, les lois et les coutumes
Coutumes qui du reste font toute sa fortune
Fortune sans salut mais qu'il croit éternel
Éternels sont ses cris, ses douleurs, ses appels
Appels désespérés qu'il lance dans les nues
Nues que certaines gens auraient cru avoir vu
Vu d'un oeil malheureux se transformer en cieux
Cieux où logeait, pour l'homme, un implacable Dieu