Intro :
U (S.A) n jour d'hi ver, elle est ve nue
Le destin me l'ap porte
Frapper à ma porte
C'était la malve nue
Elle venait de loin
Son coeur était à nu
Mes amours étaient mortes
Elle a passé ma porte
«Tu es la bienve nue !»
D (S.A) epuis longtemps dé jà
J'étais seul sous mon toit
J'avais éteint mon feu
Tant pis pour l'ave nir
J'avais des souve nirs
J'attendais d'être vieux
Je m'étais rési gné
Un jour, je l'oublie rai
Quand passera le temps
Peut-être d'avoir trop ai mé
Mon coeur avait mille ans
Un jour d'hiver, elle est venue
Le destin me l'apporte
Frapper à ma porte
C'était la malvenue
Elle venait de loin
Son coeur était à nu
Mes amours étaient mortes
Elle a passé ma porte
«Tu es la bienvenue !»
L (S.A) e temps de mes vingt ans
Comme un coup de prin temps
Soudain est reve nu
Il a tendu la main
Il revenait de loin
Pour réclamer son dû
Elle m'a regar dé
Puis elle m'a chan té
Un air déjà con nu
Alors, j'ai ouvert ma porte
Adieu les amours mortes !
Bonjour la bienve nue
Un jour d'hiver, elle est venue
Le destin me l'apporte
Frapper à ma porte
C'était la malvenue
Elle venait de loin
Son coeur était à nu
Mes amours étaient mortes
Elle a passé ma porte
«Tu es la bienvenue !»
M (S.A) oi qui n'avais plus rien
Qu'un immense cha grin
J'ai trouvé des tré sors
Elle a tout refleu ri
Elle apportait la vie
Elle a semé de l'or
J'ai retrouvé en fin
La douceur des ma tins
Que je croyais per due
Rien que de dire à de main
Moi, je n'y croyais plus
Un jour d'hiver, elle est venue
Le destin me l'apporte
Frapper à ma porte
C'était la malvenue
Elle venait de loin
Son coeur était à nu
Mes amours étaient mortes
Elle a passé ma porte
«Tu es la bienvenue !»
M (S.A) oi qui avais si froid
L'ai serrée contre moi
Puis je l'ai réchauf fée
Mais, un jour, je l'ai vue
Le regard éper du
«Mais qu'as-tu à pleu rer ?»
Elle a tendu le dos
Puis, entre deux san glots,
Elle m'a murmu ré
«Je repartirai un jour
Je pleure un autre a mour
Je ne peux l'oubli er.»
Un jour, l'été est revenu
Le destin me l'apporte
Frapper à ma porte
C'était le malvenu
Elle partait au loin
Mon coeur était à nu
Mes amours étaient mortes
Elle a passé ma porte
Adieu la bienvenue
E (S.A) lle a pris le che min
Qui s'écartait du mien
Puis elle m'a sou ri :
«J'emporte mon cha grin
Je te laisse le tien
Que veux-tu, c'est la vie !»
Je me suis regar dé
Je me suis répé té
Un air déjà con nu
«À jamais fermez vos portes
Au nez des amours mortes !
Elles sont les malve nues !»
[Finale] :
« A jamais fermez vos portes !
Au nez des amours mortes
Elles sont les malve nues !»