(Rythme 3/4)
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Oh dieu si j'eusse étu dié
Au temps de ma jeunesse folle
Et à bonne moeurs dédi é
J'eusse maison et couche molle
Mais quoi je fuyais l'é cole
Comme fait le mauvais en fant
En écrivant cette pa role
À peu que le coeur ne me fend
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Où sont les gracieux gal lants
Que je suivais au temps ja dis
Si bien chantant si bien par lant
Si plaisants en faits et en dits
Les aucuns sont morts et rai dis
D'eux il n'est plus rien mainte nant
Re pos aient en para dis
Et Dieu sauve le remenant
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Et meurs Paris ou Hé lène
Qui conque meurt meurt à douleur
Sans qu'il n'y ait vent ni ha leine
Son fiel se crève sur son coeur
Corps féminin qui tant est tendre
Po li suave si pré cieux
Te faudra-t-il ces mots at tendre
Et pour tout dire aller aux cieux
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