On s'est recon trés, j'étais plutôt fra gile
Les étoiles s'enli saient dans la forme de nos y eux
J'étais bien us ée, de mensonges fabul eux
Et tu m'as enlevé e des profondeurs, des cr eux
Mais je t'ai avert i, des monstres se c achent
Au fond de mon c ½ur, qui se mue en m oi
Mais libre d'esp rit
En secret, je pr ie
Que mon double en fin ne se libère pas
Et l aisse donc tomber le so ir
Celui qui me fa it rentrer toujours plus t ard
Et qu and sauras-tu t'arrê ter
Tu ne peux me cha nger, un être cas sé
Mais comprends en fin, je suis combus tible
Je ne peux arr êter, je ne suis pas do cile
Mais la isse-moi tomber en fin et noyer ma p eine
On se quittera de main
Et quand minuit app roche
Je sens que je me transf orme
La soif d'avant ages définit mon cont rôle
Affamée d'am our, avides de remor ds
Je recherche le c onfort dans mes alent ours
Mais je t'ai avert i, des monstres se c achent
Au fond de mon c ½ur, qui se mue en m oi
Mais libre d'esp rit
En secret, je pr ie
Que mon double en fin ne se libère pas
Et laisse donc tomber le soir
Celui qui me fa it rentrer toujours plus t ard
Et qu and sauras-tu t'arrê ter
Tu ne peux me cha nger, un être cas sé
Mais comprends en fin, je suis combus tible
Je ne peux arr êter, je ne suis pas do cile
Mais la isse-moi tomber en fin et noyer ma p eine
On se quittera de main
Et laisse donc tomber le soir
Celui qui me fa it rentrer toujours plus t ard
Et qu and sauras-tu t'arrê ter
Tu ne peux me cha nger, un être cas sé
Mais comprends en fin, je suis combus tible
Je ne peux arr êter, je ne suis pas do cile
Mais la isse-moi tomber en fin et noyer ma p eine
On se quittera de main