Un jour l'habitud e, a été trop
Tu as posé ton fardea u, et sans regret
Tu as di t,
A bientô t.
La route s'est ouverte , a tes pas
Tu sais que là-ba s, tout un monde
N'attend ,
Que toi.
Parfois tu imagines , un repas de roi
Mais tu n'oublies pas , que d'autres
Ont plus faim ,
Que toi.
Quand le soir te laisse , désemparé
Tu sais où rencontre r, les compagnons
Qui sauront ,
Te consoler .
On ne te demande pas , Ce que tu étais
Ni ce que tu faisai s,
Tu es là ,
On t'offre l'amitié.
Parfois tu prends ta guitare , Tu joues les chansons
De Dylan ou de Via n,
Et les yeux ,
S'éclairent bien souvent .
Et puis soudain tu trembles , car tu comprends
Que tous leur mots troublan t,
Ne sont ,
Que réalité vraiment .
Alors tu reprends la route , et tu vas dire au loin
Le Mal n'est pas le Bie n,
Mais tu sais ,
Que les gens n'entendent rien .