Quatorze ans, première fois, je m'en rappelle
J'ai des crampes au ventre, une hu meur de merde, tous les mois c'est pareil
Il y a les jours sans, les nuits sans sommeil
Celles où on apprend qu'on va v ivre avec une mau vaise nouvelle
Ouh-ouh-ouh, on s'habitue tou jours à tout
Même aux peines, même aux gênes
Même nou-ou-ous, on s'habitue tou jours à tout
Sauf peut- être à perdre ceux qu'on aime
Dix-sept ans, pre mière rupture
Même s'il était temps, mon pre mier amour s'est fi ni, c'est dur
Et d'au tres soucis, mais tout fi nit par passer
Ainsi va la vie, et même quand mon coeur s'était déchiré
Ouh-ouh-ouh, on s'habitue tou jours à tout
Même aux peines, même aux gênes
Même nou-ou-ous, on s'habitue tou jours à tout
Sauf peut- être à perdre ceux qu'on aime
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Aujourd'hui, on est comme toutes les fleurs
Un jour on se fane, pourtant ça fait mal quand s'a rrête un coeur
Et moi, j' ai grandi, mais malgré, le temps passe
Jamais je n'oublie ce qui sans prév'nir, nous ava it quitté
Ouh-ouh-ouh, on s'habitue tou jours à tout
Même aux peines, même aux gênes
Même nou-ou-ous, on s'habitue tou jours à tout
Sauf peut- être à perdre ceux qu'on aime
Sauf peut- être à perdre ceux qu'on aime
Sauf peut- être à perdre ceux qu'on aime