Yé mama yé, mam a yé, mam a yé ma. Yé mama yé, yé yé ma
On veut partir, voyager et puis tout nous manque là-bas
On se jure toujours s 'aimer et puis doucement on s'en va
On se croit dur, bien armé, des soldats en chocola t
Des contraires simultan és, encore plus troublant par fois
Un concert et le vent des sphères et puis vous êtes loin déjà
Un instant, près comm e des frères, sans vous ne reste que moi
Certains soirs dans l'hiver, des mots qu'enfant on n'éco ute pas
Reviennent, lumi ère légère et on lève les b ras
Yé mama yé, mam a yé, mam a yé ma. Yé mama yé, yé yé ma
Tout ce qu'on a dû sacri fier, pour des jouets qu'on cass era
Quand on veut retrouver la paix, où est le creux de ses bras
Le mal qu'on fait sans faire exprès, c'est fait, c'est fait et voilà
Que dire d'autre : « Yé mama y é », j'en sais rien... « C'est comme ça »
Yé mama yé, mam a yé, mam a yé ma. Yé mama yé, yé yé ma
Yé mama yé, mam a yé, mam a yé ma. Yé mama yé, yé yé ma