Plus ça va, plus on va devant sans savo ir où l'on va.
Faut pas rê ver y a forc ément des fau x pas.
Plus ça va, plus on a le choix mais entre quoi et quoi
puisqu'au bout, tout au bout, c'est chacun pou r soi !
Tout ça ne tient pas de bout, pas d ebout, on a tout , on étouffe, on doute de tout.
On finit par se dire que c'était mieux quand c'était pire
Et le meil leur reste to ujours à venir. On se dit, se dit, se dit :
Hou, hou, hou, plus ça va, plus ça va , ho u, ho u moins ça va !
Hou, hou, hou plus ça va, plus ça va , ho u, ho u !
Tou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou d ou dou
Tou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou d ou dou
Plus ça va, plus on a de zones et moins on a d'ozone
et l'on s'é tonne et l'on s' abonne aux « po urquoi ? »
Plus ça va plus on sait de choses et pourtant chaque fois
les questions restent et les r éponses on n' a pas.
Tout ça ne tient pas de bout, pas d ebout, on a tout , on étouffe, on doute de tout.
On prend le temps, de temps en temps, mais le temps peu s'en faut,
Vient toujours tard et repart toujours tro p tôt. On se dit, se dit, se dit :
Hou, hou, hou, plus ça va, plus ça va , ho u, ho u moins ça va !
Hou, hou, hou, plus ça va, plus ça va , ho u, ho u moins ça va !
Tou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou d ou dou
Tou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou d ou dou
Plus ça va, plus on est de monde au monde à se croiser
sans savoir qui est son vo isin de palier.
Plus ça va plus le monde change et reste comme il est
on gagne au change autant qu'on perd il es t vrai.
Tout ça ne tient pas d ebout, pas d ebout, on a tout , on étouffe, on doute de tout.
Plus ça va, plus on vend de vent mais le vent quelquefois,
Souffle la colère et l'e spoir à l a fois. On se dit, se dit, se dit :
Hou, hou, hou, plus ça va, plus ça va , ho u, ho u moins ça va !
Hou, hou, hou, plus ça va, plus ça va , ho u, ho u moins ça va ! ...