Tu dis que tu n'es jamais l ibre
Et tu cherches la liber té,
Tu dis que tout est injus tice
Et tu cherches la véri té,
Tu dis que ce monde est un rêve
Où l'on dort dans l'éterni té,
Tu dis que personne ne t'aime
Toi qui ne sais faire qu'ai mer,
Tu vis un peu dans une bulle
Mais tu donnes tant de toi- même,
Quand tu parles tes yeux s'a llument
Et tes mots s'assemblent en poème.
L'homme, tu ressembles à Dieu
Dans tes longs che veux
Je vois briller un au tre so leil,
Et ces milliers de gens qui pass ent
Ne comprennent pas pour quoi.
L'homme, tu ressembles à Dieu
Dans tes longs che veux
Je vois briller un au tre so leil,
Et ces milliers de gens qui pass ent
Ne comprennent pas pour quoi.
Tu dis que tu n'as pas de c hance
Mais tu n'es jamais malheu reux,
Tu parles de l'intelli gence
Comme de ces fruits véné neux,
Tu dis que tu es malho nnête
Tu passes ta vie à don ner,
Tu donnes au tant que tu p ossèdes
Mais ton coeur est plein à cra quer,
Tu vis un peu comme une plume
Qui s'élève de vie en vie,
Un jour tu t'en vas sans rien dire
Moi je sais bien où tu t'en fuis.
L'homme, tu ressembles à Dieu
Dans tes longs che veux
Je vois briller un au tre so leil,
Et ces milliers de gens qui pass ent
Ne comprennent pas pour quoi.
L'homme, tu ressembles à Dieu
Dans tes longs che veux
Je vois briller un au tre so leil,
Et ces milliers de gens qui pass ent
Ne comprennent pas pour quoi.
L'homme, tu res sembles à Di eu...