Des matins qui se lèvent dans le ciel de tes yeux
Des lumières du jour qui tachent tes cheveux
De tes jupes que trousse du regard le soleil
Et la gouache des fleurs sous des nuées d'abeilles
Des printemps insolents qui effacent l'hiver
Des étés qui étouffent de leurs bras incendiaires
Des rires qui se brisent pour se laisser pleurer
Sur des mélancolies par l'automne insufflé
J'en veux , j'en veux en core
Et ne jamais cesser de sentir dans mes veines
Cette vi
e palpiter aussi belle que vaine
J'en veux , j'en veux en core
Je le crie sans colère au milieu du vacarme
Je finirai mon verre jusqu'à (Stop) la dernière l arme
Des crépuscules errant jusqu'aux lumières de l'aube
Des instants où le jour et la nuit marivaudent
De l'alcool qui s'ennuie de ne savoir créer
Des musiques qui battent mon coeur irrégulier
Des mains qui s'insinuent dans mes nuits de sommeil
L'envie toujours plus forte qu'un besoin essentiel
Des horizons bouchés par le soir qui se couche
Des vins ensoleillés qui coulent dans ma bouche
J'en veux, j'en veux enc ore
Et ne
jamais cesser de sentir dans mes veines
Cette vi
e palpiter aussi belle que vaine
J'en veux, j'en veux enc ore
Je le crie sans colère au milieu du vacarme
Je finirai mon verre jusqu'à (Stop) la dernière l arme
Des murs qui se fissurent sur des idées nouvelles
Des mots qui se répandent comme des étincelles
Des soirs qui s'agrandissent un peu plus chaque jour
Des je t'aime, je t'attends, des bonsoirs, des bonjours
Des enfants qui m'embrassent en me disant papa
Des amis qui m'accueillent dans le nid de leurs bras
L'ivresse qui s'abreuve du rouge de tes baisers
Et mon corps qui réclame sans être rassasié
J'en veux , j'en veux en core
Et ne jamais cesser de sentir dans mes veines
Cette vi
e palpiter aussi belle que vaine
J'en veux ... ...
J'en veux ... ...
J'en veux , J'en veux enc ore
Je le cri sans colère au milieu du vacarme
Je finirai mon verre jusqu'à l (Stop) a dernière la rme
Des matins qui se lèvent dans le ciel de tes yeux
Des lumières du jour qui tachent tes cheveux
Des rires qui se brisent pour se laisser pleurer
NC
Et des mélancolies ... Par l'automne insufflé