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LES ENFANTS DU PIRÉE

Bande originale du film de Jules DASSIN: « Jamais le dimanche » (1960).
Paroles :Adaptataion française: Jacques Larue
Musique :Mános Hadjidákis
Tonalité :
  • B
  • C
  • D♭
  • D
  • E♭
  • E
  • F
  • G♭
  • G
  • A♭
  • A
  • B♭
  • B
Intro :           
                  
            
 
 
   Noyés de bleu sous le ciel   grec
 
Un bateau, deux bateaux,
Trois bateaux s'en vont chan  tant
Griffant le ciel à coups de   bec
 
Un oiseau, deux oiseaux,
Trois oiseaux font du beau   temps
 
 
Dans les ruelles d'un coup de   bec
 
Un volet, deux volets,
Trois volets claquent au   vent
En faisant une ronde a  vec
 
Un enfant, deux enfants,
Trois enfants dansent gaie  ment
  Mon   dieu,   que j  'aime
Ce port du bout du   *monde   Variante :  
Que le soleil i  nonde
De ses re  flets do  rés
  Mon   dieu,   que j  'aime
Sous leurs bonnets o  * ranges
Tous les visages   d'anges
Des enfants   du Pi  rée.
           
           
     
 
 
Je rêve aussi d'avoir un jour
Un enfant, deux enfants
Trois enfants jouant comme eux
Le long du quai flânent toujours
Une fille, deux filles
Trois filles aux jolis yeux
 
 
De notre amour, on se fera
Un amour, dix amours
Mille amours noyées de bleu
Et nos enfants feront des gars
Que les filles, un beau jour
A leur tour rendront heureux
Mon dieu, que j'aime,
Le pont du bout du monde
Que le soleil inonde
De ses reflets dorés !
Mon dieu, que j'aime,
Sous les bonnets oranges
Tous les visages d'anges
Des enfants du Pirée !
           
           
     
 
 
(Parlé :)
Quand on parlait de voyages
Vers de fabuleux rivages
Tu disais qu'on les feraient nous aussi
Oui, mais quand on en a eu l'âge
Moi, j'ai quitté le village,
Tu m'as dit : » Je t'attendrai toute ma vie »
 
 
Mais, quelquefois,
Les bateaux s'en vont si loin
Que le flot les entraîne
Mais, quelquefois,
Les bateaux s'en vont si loin
Que, quelquefois
Trop tard, ils reviennent.
 
 
Après tant et tant d'années
Je t'ai enfin retrouvé
Devant nous le passé vient de surgir
Mais, mon dieu, comme c'est étrange
Oh, mon dieu, comme c'est étrange
Nous n'avons soudain plus rien, rien à nous dire !
 
 
Car, quelquefois,
Les bateaux s'en vont si loin
Et le flot les entraîne
Car les bateaux quelquefois,
S'en vont si loin
Mais, quelquefois
Trop tard, ils reviennent
Mais, quelquefois
Trop tard, ils reviennent.
 

Contribution

Michel V, version 1.0

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Version : 1.0
Dernière modification : 2013-10-14
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