C Hélas, si j'avais su lorsque ma voix
B7
qui prêche
Cmaj7 T'ennuyait de leçons, que sur toi rose
A(aug) A7
et fraîche
Dm L'oiseau noir du mal
G7 heur planait ina
C7 perçu
F
Que la fièvre guettait sa proie et que
B7
la porte
Enfant, je t'aurais fait l'existence bien douce
Sous chacun de tes pas j'aurais mis de la mousse ;
Tes rires auraient sonné chacun de tes instants ;
Et j'aurais fait tenir dans ta petite vie
Des trésors de bonheur immense à faire envie
Aux heureux de cent ans.
Loin de bancs où pâlit l'enfance prisonnière
Nous aurions fait tous deux l'école buissonnière.
Au milieu des parfums et des champs d'alentour
J'aurais vidé les nids pour emplir ta corbeille
Et je t'aurais donné plus de fleurs qu'une abeille
N'en peut voir en un jour.
Db Puis, quand le vieux janvier, les épaules
C7
drapées
Ebm De magots, de
Ab7 pantins, minuit sonnant
Db7 accourt
Gb
;
Parmi tous tous les cadeaux qui pleuvent pou
C7
r étrenne
C Mais je ne savais pas et je prêchais e
B7
ncore ;
Dm Quand, tout à coup,
G7 pleurant un pauvre espoir
C7
déçu
F De ta petite main, j'ai vu tomber
B7
le livre ;