C'éta it, dans la nui t br une, Sur un clocher jauni,
La lu ne, Comme un p oint sur un « i ».
Lune, quel esp rit so mbre , Pro mène au bout d'un fil,
Dans l'omb re, Ta face et ton profil ?
E s-tu l'½ il du ciel b orgne ? Que l ché rubin cafard
Nous lorgn e, Sous ton masque b lafard ?
E st-ce u n ver qui t e ron ge, Qua nd to n disq ue noirci
S'all onge, E n croi ssant ré tréc i ?
Es-tu , je t' en sou pçon ne, L e vie ux cadr an de fer
Qui s onne, L'heu re aux da mnés d'en fer ?
Sur t on front qui v oyag e, Ce soir ont-il s compté
Quel âge, A leur éternité ?
Q ui t'av ait é borgné e, L' autre nu it ? T'étai s-tu
Cogné e, Co ntre u n arbre p ointu ?
C ar tu v ins, pâle e t mor ne, Col ler s ur mes carreaux
Ta co rne, A trav ers les barreaux.
Lune, en not re mém oire , De tes b elles a mours
L'his toire , T'em bellira toujou rs.
Et to ujours rajeun ie, Tu se ras d u passa nt
Bénie , Ple ine lu ne ou croi ssant.
Finale :