Intro :
Une femme qui s'en va, ça ne revient jamais
Ça se retourne à peine et puis ça disparait
L'a mour devient alors comme un cou teau planté
Plus rien ne peut guérir un coeur assassiné
Une femme qui s'en va, ça ne revient jamais
Peu im porte qu'on pleure sur les années passées
Les larmes ne sont plus qu'un torrent d'eau salée
Qu'une source inutile où l'on va se noyer
Ça souffre doucement
Toute une éternité
Puis un jour s'entend
Chanter la liberté
Ça court au-devant d'elle
Tout comme un évadé
Comme un évadé
Une femme qui s'en va ça ne revient jamais
Et la mélancolie vient a lors s'installer
Comme une pierre tombale sur une vie brisée
Comme un jardin de ronces sur un coeur barbelé
Ça souffre doucement
Toute une éternité
Puis un jour s'entend
Chanter la liberté
Ça court au-devant d'elle
Tout comme un évadé
Comme un évadé
Une femme qui s'en va, ça ne revient jamais
Jus qu'à la fin du monde pour tant je t'attendrais . ..