Artistes :

Titres :

LES ENFANTS PARADIS

Paroles et musique :Damien Saez
Tonalité :
  • B
  • C
  • D♭
  • D
  • E♭
  • E
  • F
  • G♭
  • G
  • A♭
  • A
  • B♭
  • B
Intro :           
 
 
Ils étaient des sour  ires, ils étaient des sanglots
Ils étaient de ces   rires que font les chants d'oiseaux
Ils étaient des ma  tins quand on va bord de mer
Ils étaient coeur ch  agrin, ils étaient coeur lumière
Ils étaient des poèm  es, ils étaient des oiseaux
Ils étaient des "je   t'aime" qu'on dit bord du ruisseau
Ils étaient du caf  é, ils étaient du bist  rot
Ils étaient étrang  ers, ils étaient sans dra  peau
 
 
Ils étaient de Pa  ris, ils étaient de province
Ils étaient coeur de   pluie qui font mon coeur qui grince
Ils étaient plein de   vie, avaient l'oeil du printemps
Ils étaient coeur qui   rit quand le ciel est pleurant
Ils étaient des pro  messes, ils étaient devenir
Ils étaient bien trop   jeunes, oui, pour devoir partir
Ils étaient fils d'O  rient ou fils de l'Occi  dent
Enfants du para  dis, enfants du Bata  clan
 
 
Ils étaient coeur fran  çais ou international
Ils étaient la ro  sée qui pleure dessous le châle
Ils étaient des pro  messes, ils étaient des bourgeons
Qui font monter tris  tesse, ils étaient des chansons
Ils étaient des fa  milles, ils étaient des amis
Ils étaient ce qui   brille dans le ciel de la nuit
Ils étaient amour  eux, ceux qui se sont blot  tis
L'un contre   l'autre, à deux contre la tyran  nie
 
 
Ils étaient comme   toi, ils étaient comme moi
Ils n'étaient pas guer  riers, mais sont morts au combat
Ils étaient coeur d'  amour, ils étaient coeur qui bat
Puis qui battra tou  jours même en dessous la croix
Ils étaient ces a  mis que je connaissais pas
Ils étaient mon pa  ys et puis le tien, je crois
Ils resteront Pa  ris, Paris se souvien  dra
Toujours de ces a  mis, la lumière brille  ra
 
 
Ils s'appelaient je   t'aime, ils s'appelaient jeunesse
Ils s'appelaient po  èmes, ils s'appelaient tendresse
Ils s'appelaient fran  gines, ils s'appelaient frangins
Ils s'appelaient ga  mines, ils s'appelaient gamins
Ils s'appelaient la   joie et puis la non violence
Ils s'appelaient, je   crois, les enfants de la France
De tous les hori  zons, puis de tous les pré  noms
Ils s'appelaient a  mour, s'appelaient l'hori  zon
 
 
Ils s'appelaient Jacques   Brel, puis, je crois, Barbara
Ils s'appelaient le   ciel, ils s'appelaient pourquoi
Toujours ici som  meille l'horreur au creux du bois
Qui rejoint l'Éter  nel, va l'innocent, je crois
Ils étaient poings le  vés, ils étaient nos concerts
Ils étaient coeur se  rré, oui, face aux tortionnaires
Ils étaient coeur d'oe  illets, des fleurs face aux   fusils
À nos coeurs endeui  llés, nous pleurons nos   amis
 
 
À l'innocent qu'on   tue, oui, tombé sous les balles
Au soldat incon  nu, sous l'horreur des mitrailles
Si sont les lettres   mortes, les cantiques du chagrin
Puisque frappent à la   porte les plaines de Verdun
Si sont tombés ce   soir, en ce vendredi noir
Les frères de mon p  ays, nous laissant désespoir
Mon pays, ta cul  ture, est morte assass  inée
Mais tu sais ma cul  ture, non, ne mourra ja  mais
 
 
Toi mon pays, Mo  lière, toi mon pays, Vinci
Toi mon pays, Vo  ltaire, toi mon pays, Valmy
Toi mon pays, la   Terre, toi mon pays, Paris
Toi mon pays par  terre, relève-toi mon pays
Toi mon pays lu  mière, toi mon pays la vie
Mon pays litté  raire, mon pays triste vie
Toi mon pays mes   frères, toi frère de mon pa  ys
Comme on chérit sa   mère, on chérit sa pa  trie
 
 
Finale :                          
 

Contributions

Autres versions luanauhl, version 1.0

Évaluation

Votre évaluation ?

Recueil(s)

Vous devez vous inscrire ou vous enregistrer afin de gérer vos recueils de chansons...

Vidéo(s)

Version : 1.1
Dernière modification : 2020-09-16
AvertissementAvertissement sur les droits d'auteurs concernant les textes