J'étais heureuse au logis maternel. Un soir j'avais à peine mes seiz e ans
Et je connus l'amour d'un jeune garçon, j'a i préféré son coeur à ma mama n.
Depuis que j'ai quitté ma bonne mère, la nuit je la vois qui me tend les bras.
Elle me paraît si triste et solitaire, j'entend s sa voix qui murmure tout bas :
Mon en fant je te pardonne, reviens vite auprès de moi,
Reviens vite que je te donne, les do ux baisers d'au trefois.
J'oublierai toutes les peines, les ennuies et les tour ments,
Tu a uras toujours quand même, le pardon de ta maman.
Un soir où coulèrent les larmes amères, je reviens le coeur triste et malh eureux.
Mais là tout est fini, ma bonne mère, ell e est morte, elle a fait un suprême a veu.
Trop tard j'ai regretté cette folie, que donnerais-je pour être sans ses br as.
Je d onnerais mon coeur, toute ma vie, pour ent endre sa voix me dire tout bas :
Mon en fant je te pardonne, reviens vite auprès de moi,
Revien s vite que je t e donne, les doux baisers d' autrefois.
J'oublierai toutes les peines, les ennuies et les tour ments,
Tu a uras toujours quand mêm e, le pardo n de ta maman.
Tu a uras toujours quand même , le pardon de ta maman.