Intro :
C'était en hi ver et déjà tombait la nuit,
Quand elle arriva, il lisait Paul Géraldy.
Elle lui dit : "Bon jour", en soule vant sa voilette
Et, sur son nez, fit voltiger sa houppette
Adorable sous les plumes de son chapeau,
Elle frissonnait dans un manteau d'ocelot.
Il se pencha pour baiser sa main opaline,
Mais lorsque ses lèvres se fi rent plus câlines,
En soupirant, elle murmura d'une voix lasse : "Ah !
N'insistez pas Stanis las !"
Il la fit as seoir sur son beau divan chinois,
"La la la la la la la la... Là Tout contre moi
Mm, Mm ... Sa peau de satin
Mm, Mm, Mm, Mm, Mm... "Cop ain, cop ain".
Elle avait gardé ses plumes et son chapeau,
Mais d éboutonné le manteau d 'ocelot.
Ses yeux plongeaient dans ses yeux, cou leur d'ambre gris
Elle protesta : "Je suis af freuse aujourd'hui !
"Hum, hum, oh non, quelle audace, non !
N'insistez pas Stanis las !"
D'une voix douce, elle lui fit une proposition :
"Faisons, voulez-vous, une par tie de Mah-jong ! "
Mais bientôt le vieux coucou son na quatre fois
Effarouchée, elle quitta le divan chinois.
Elle remit en ordre ses plumes et son chapeau
Et reboutonna le manteau d'ocelot.
En la sup pliant, il la re prit par la taille.
Elle se dégagea en lui di sant : " Bye bye !"
Seul comm'un i diot, je me suis vu dans la glace:
"N'insiste pas, Stanis las ! " Oh non !
N'insiste pas Stanis las !