Quand j'ai connu ma louloute, ça baignait, ça bai gnait
Il ne faisait aucun doute, qu'on s'aimait, qu'on s 'aimait
Mais comme je suis par nature un garçon av isé
J'lui ai dit si d'aven ture, tu dev ais me quit ter
Quitte-moi pendant la Coupe du Monde
Si possible au tout début, quand elle vient j uste de commencer
Si ça s'trouve j'me rendrai même pas c ompte
Que j'suis resté tout un mois seul devant l a télé
Quitte-moi pendant le Tour de F rance
Ou bien les Jeux Olympiques, ceux d' Hiver ou ceux d'été
Si ça s'trouve j'ferai pas la différ ence
Et je chanterai sur notre a mour passé :
« On a gagné, on a gagné »
Mais comme c'était ma louloute, qu'elle m'aimait, qu'elle m' aimait
Elle m'a dit « tes matchs de foot avec toi, j'les reg ard'rai »
Et en pensant à ma mère qui m'disait « femme var ie »
Pour assurer mes arr ières j'lui ai dit « Ma ch érie...
Mais bien sûr comme on s'en doute ma louloute est pa rtie
Elle m'a quitté au mois d'août : pas d'football, pas d'ru gby
Maint'nant quand j'drague une gonzesse avant même de l'embra sser
J'lui dis « Fait moi la prom esse si tu dois me qui tter ...