Je n'ai r ien dans ma pris on
Que quatre murs pour hori zon
Je ne fais rien tout le j our
Que pens er à t oi, ô mon am our
Si le juge m'a acc usé
Si le sol eil m'a ren ié
J'ai gardé comme défens eur
Un grand es poir dans mon c ½ur
Tu sais, on prend vite l'habit ude
De v ivre seul avec ses pen sées
Dès que pèse la soli tude
Alors on songe à sa bien- aimée
Et tout s'arrête soudain
Pour fixer ce rêve dans le lointain
Ce jour où je serai libéré
Fêté par un bouquet de baisers
Tout ça n'est qu'un grand espoir
Qui naît quand je broie du noir
Car me l'as-tu pardonné
Ce soir où tu as tant pleuré ?
Et quand viens-tu me trouver ?
J'espère, je n'attends que cela
Peut-être as-tu honte de m'aimer ?
J'ai peur, non ! Je n'y crois pas
Mais j'ai mal pour tout cela
Oh, chérie, ne m'oublie pas