Intro :
Je rêve son vi sage; je déc line son c orps
Et puis je l'ima gine habitant m on déc Dor
J'au rais tant à lui dire si j'avais su par ler
Com ment lui faire lire au fond de mes pensée s ?
Mais comment font ces autres à qui tout réuss it ?
Qu'on me dise mes f autes, mes chi mères aus si!
Moi, j'offrirais mon â me, mon coeur et tout mon temps
Mais j'ai beau tout don ner, tout n'est pas suffisan t
S'il suffi sait qu'on s'aime, s'il su ffisait d'ai mer
Si l'on changeait les c hoses un peu, r ien qu'en aimant don ner
S'il suffis ait qu'on s' aime, s'il suf fisait d'ai mer
Je ferais de ce m onde un rêve, une étern ité
J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris, même en fermant
Dans un jardin l'enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j'entends battre tous les coeurs
Quand les nuages foncent, présage des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs ?
S'il suffi sait qu'on s'aime, s'il suffisait d'ai mer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant don ner
S'il suffisait qu'on s 'aime, s'il s uffisait d'aim er
Je ferais de ce monde un rêve, une éter nité
S'il suffi sait qu'on s'aime, s'il suffisait d'ai mer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant don ner
S'il suffisait qu'on s 'aime, s'il s uffisait d'aim er
Nous ferions de ce rêve un monde ... S'il suffis ait d'ai mer.